Pendant trois jours, le bois Henrys sera animé par des activités, conférences et stands ! Ce bois et son écosystème seront révélés aux visiteurs à travers des balades commentées (sur des circuits de moins de 2km, en terrain plat) et par des activités artistiques !
AU PROGRAMME :
VENDREDI 24 JUIN :
SAMEDI 25 JUIN :
DIMANCHE 26 JUIN :
STANDS ET ACTIVITÉS CONTINUES
SAMEDI 25 JUIN :
SAMEDI 25 ET DIMANCHE 26 JUIN :
Toutes les activités sont gratuites
Aire de pique-nique et barbecue à disposition : samedi midi, samedi soir et dimanche midi
Accès : D674 direction Liffol-le-Grand (CHAUMONT). À 2,5km de la sortie d’agglomération de Neufchâteau, prendre la route forestière sur la gauche. Parking : accotement de la route forestière de Noncourt.
Toutes les activités se font à proximité ou avec un départ à pied depuis la Maison forestière du Bois Henrys. Prévoir une arrivée au moins 30 minutes avant les conférences (parking à 500m à pied de la maison forestière).
Le Bois Henrys est une forêt de plateau calcaire. Historiquement pauvre, elle fût en outre fortement touchée par la tempête de 1999. Depuis 20 ans, nous faisons en sorte de la reconstituer en nous appuyant sur le fonctionnement naturel. Pour autant, nous constatons que la forêt est éprouvée par les sécheresses qui se succèdent ces dernières années.
Cette forêt a appartenu à l’inspecteur des Eaux et Forêts local en 1850. Elle fut semble-t-il fortement exploitée il y a 80 ans. Elle est entrée dans notre famille en 1991. En 1999, la tempête Lothar a abattu près d’un arbre sur 3.
La forêt dispose d’une maison forestière qui lui donne une âme. Une majorité des sols est peu fertile de sorte que les sécheresses à répétition des années récentes sont inquiétantes même si les impacts restent pour l’instant modérés. Pour autant, il existe aussi quelques beaux sujets de hêtre, de chêne et d’érable.
Nous espérons d’abord préserver son état sanitaire, qui est source d’inquiétudes dans le contexte actuel. Nous espérons en outre voir se concrétiser nos efforts pour la reconstituer depuis plusieurs décennies, suite à la tempête de 1999. Nous avons pratiqué une sylviculture qui s’appuie sur la dynamique naturelle. Mais même les essences autochtones comme le hêtre apparaissent désormais particulièrement fragiles.