15 juin
Randonnée dessinée
à Saint-Jean Lagineste
15h00 – 22h00 – Randonnée : accompagnés de la carnettiste Josine Jansen, découvrez et croquez les remarquables points de vue que cache cette forêt, et au retour de cette balade artistique, voter pour votre dessin favori, créé lors de cette escapade. Le gagnant remportera une œuvre en bois de l’artiste Louis de Verdal. Pour clôturer le tout, Mathias Roth de la Ligue pour la Protection des Oiseaux (LPO) vous fera découvrir à la tombée de la nuit la biodiversité nocturne lotoise. Au programme : sons de la nuit, chauves-souris et faune nocturne…
- Point de rendez-vous : Mairie de Saint-Jean Lagineste ;
- Inscriptions auprès de Philippe BAYARD au 06 08 35 99 62.
Les essences principales sont des châtaigniers et des chênes, en taillis comme en futaies. La balade proposée rencontrera quelques cours d'eau. De nombreux végétaux et champignons comestibles s'y cachent.
Ces parcelles forestières, se trouvant à cheval sur trois communes : Saint-Jean Lagineste, Saint-Jean Lespinasse et Saint-Cérés, sont des lieux qui regroupent les régions naturelles de la Limargue (ou avant-causse), du Ségala, et du Causse, présentant la diversité de végétation du département du Lot.
Les taillis de châtaigniers et de chênes avaient, jusqu'au milieu du 20ème siècle, une vocation vivrière. Aujourd'hui, la forêt reprend ses droits et n'est plus entretenue comme avant, elle est en expansion du fait de la déprise agricole.
La forêt n'est plus entretenue comme auparavant, elle est en expansion et parfois des paysages se referment. Cela est donc une aubaine pour la biodiversité et les niches écologiques ! A l'interstice des trois grandes zones géographiques du territoire (Limargue, Causse et Ségala), cette balade permettra de voir une certaine diversité de paysage et de peuplement. Des tempêtes ont récemment fait tomber des arbres, et des bois morts sont toujours présents et visibles.
Le rêve du PETR de Figeac Quercy - Vallée de la Dordogne, est de pouvoir continuer à émerveiller les promeneurs, d'abriter la faune et la flore, mais aussi de permettre aux propriétaires de tirer un revenu de ces bois, qui permettrait de réinvestir dans la gestion de la forêt, et ainsi de l'améliorer.