• 15 juin
  • 20 juin
  • Activités pédagogiques
  • Balades en forêt
  • Cueillette et repas
  • De jour
  • De nuit
  • Expériences immersives dans la forêt
  • Spectacles et œuvres artistiques
  • Veillées

A la rencontre de l’Amazonie au Jardin d’Agronomie tropicale

Focus sur les journées des 15 et 20 juin

A la rencontre de l’Amazonie au Jardin d’Agronomie tropicale
Présentation de l'événement

À l’occasion de la Saison France-Brésil 2025, le festival Nuits des forêts au Jardin d’Agronomie Tropicale de Paris part à la rencontre de l’Amazonie, berceau d’une relation ancestrale entre l’humain et la nature. Les 14 et 15 juin, COAL, association de référence en France pour l’art et l’écologie, et la Cité du développement durable, pôle international de recherches et de coopération sur les transitions, s’associent à LABVERDE, à l’Espace Frans Krajcberg et au CNAM, pour concevoir un programme artistique inédit. Ensemble, ils interrogent la notion de coexistence et explorent la manière de réintégrer des dynamiques d’harmonie dans la relation nature – culture. Le dialogue entre de nombreux artistes brésiliens et des scientifiques et experts des forêts, donnera lieu à des expositions, performances, ateliers, et balades thématiques sur les enjeux des ressources forestières, du climat, des méga-feux ou encore des peuples d’Amazonie. Tous se réuniront lors d’une soirée exceptionnelle le 14 juin, avec la re-création du Cri pour la planète et un hommage à Frans Krajcberg. Le festival se prolongera au Jardin jusqu’au 20 juin, avec une veillée « Au coin du Bois » organisée par la Compagnie Arborescent.e.s et la ferme urbaine V’île fertile, pour une immersion au crépuscule dans les récits et contes de la forêt d’ici et d’ailleurs.

 

PROGRAMMATION DETAILLEÉ DU 15 JUIN :

  • 10h-14h – Balade et cuisine sauvage avec V’île Fertile 

Partez pour une matinée immersive à la découverte des plantes sauvages comestibles et médicinales du jardin et du bois de Vincennes. De 10h à 12h, une balade guidée vous initiera à leur identification, à leurs usages et à une cueillette respectueuse de la biodiversité. Puis, de 12h à 14h, place à la cuisine sauvage : préparation et dégustation de recettes simples réalisées à partir des plantes récoltées, suivies d’un repas partagé. Chacun est invité à apporter son pique-nique ainsi qu’une spécialité à faire goûter. A partir de 13 ans.

Participation demandée de 15 €. Réservation obligatoire : https://www.helloasso.com/associations/la-cite-du-developpement-durable/evenements/nuits-des-forets-balade-et-cuisine-sauvage-avec-v-ile-fertile

 

  • 11h-16h – Dégustation et rencontre, à la découvert du Warana 

Le Warana, plante mythique de l’Amazonie, est un trésor pour le peuple Sateré Mawé, gardiens de son savoir ancestral. Seuls à maîtriser sa domestication rituelle, ils préservent ainsi leur patrimoine naturel et culturel. Depuis 1993, Guayapi soutient ce peuple dans une démarche de commerce équitable et de protection de leur territoire forestier. Venez découvrir leur histoire et déguster ce breuvage emblématique en compagnie de Bastien Beaufort, directeur de Guayapi.

Accès libre.

 

  • 14h-17h – Fresque de la forêt par le Gret

La Fresque de la Forêt propose un temps collectif et ludique pour comprendre les mécanismes de la déforestation, en particulier importée, et ses liens avec nos modes de vie. À travers un jeu de cartes, des échanges et une phase créative, explorez les impacts de la déforestation sur les forêts et le vivant.

Réservation obligatoire : https://www.helloasso.com/associations/la-cite-du-developpement-durable/evenements/nuits-des-forets-fresque-de-la-foret-par-le-gret

 

  • 14h-16h – Atelier d’herboristerie

Initiez-vous à la transformation des plantes médicinales en réalisant un macérat huileux, un baume et un sirop. Une exploration sensorielle et pratique pour découvrir les multiples usages des plantes et repartir avec vos propres préparations.  A partir de 13 ans.

Réservation obligatoire : https://www.helloasso.com/associations/la-cite-du-developpement-durable/evenements/nuits-des-forets-atelier-d-herboriserie-par-v-ile-fertile

 

  • 15h-17h – Atelier jeune public Lettres d’amour aux forêts, par Bianca Dacosta

Imaginé par l’artiste brésilienne Bianca Dacosta, cet atelier initie petits et grands à la fabrication de papiers ensemencés. A l’issue de ce processus, les participants sont invités à écrire une lettre d’amour à la forêt. Cette lettre ensemencée sera ensuite plantée dans la terre qui verra pousser d’ici quelques mois de jolies plantes ! A partir de 10  ans.

Réservation obligatoire. Lien d’inscription à venir.

 

PROGRAMMATION DETAILLEE DU 20 JUIN

  • 19h45-22h – Veillée et lecture Au coin du bois avec la cie Arborescent·e·s

La Cité du développement durable, V’Île Fertile et la Compagnie Arborescent·e·s s’associent pour vous proposer une soirée familiale et participative sur les récits de forêts. Voyagez à travers contes, légendes, chansons, extraits de romans ou de poésies pour vous enforester le temps d’une soirée au coin du bois.

Réservation obligatoire : https://www.helloasso.com/associations/la-cite-du-developpement-durable/evenements/nuits-des-forets-au-coin-du-bois

 

EXPOSITIONS DE LA SAISON BRESIL-FRANCE 2025 :

  • Du 6 au 31 août – Exposition en plein air : Frans Krajcberg, Sebastiao Salgado et Rodrigo Braga, trois regards sur l’Amazonie

Du 6 juin au 31 août 2025, le parcours photographique installé dans les allées du Jardin d’Agronomie Tropicale-René Dumont- réunit trois artistes brésiliens, issus de générations différentes. Chacun a fait de son art un combat pour dénoncer les incendies qui ravagent, encore aujourd’hui, la forêt amazonienne -le plus grand réservoir de biodiversité à l’échelle planétaire. Frans Krajcberg (1921-2017), Sebastião Salgado (né en 1944) et Rodrigo Braga (né en 1976) partagent la même blessure, la même révolte, mais aussi le même espoir, celui d’une prise de conscience pour reconnecter l’Homme avec la Nature.

Frans Krajcberg, dès la fin des années 1970 est le témoin direct des incendies volontaires allumés dans le Mato Grosso, en Amazonie. Artiste engagé, il montre sans relâche les dangers courus par la planète. Ses photographies et ses bois brûlés deviennent un « Cri » qui résonne dans les rencontres internationales, nous invitant à réagir avant qu’il ne soit trop tard.             

Sebastião Salgado a survolé la forêt amazonienne afin de révéler, entre ciel et terre, un paysage peuplé de vie. Les incendies sont pour lui une « blessure ouverte » sur laquelle il appelle à se pencher pour l’aider à se cicatriser et préserver cet étonnant écosystème, indispensable à notre survie.

Rodrigo Braga, né en Amazonie, se penche sur la relation complexe et conflictuelle qui unit l’Homme et la Nature qui l’entoure. Pendant des années, il a parcouru les sentiers du Rio Negro (Amazonie brésilienne), produisant des photographies élaborées qui reflètent son regard poétique et incisif sur la manière dont les humains influencent et transforment cette région.

Accès libre.

 

  • Du 14 au 22 juin – Expositions des artistes résidents : Fabiana Ex- Souza & Felipe Shibuya

Dans le cadre de saison culturelle France Brésil, COAL, association de référence pour l’art et l’écologie basée à Paris,  et son partenaire brésilien LABVERDE, centre brésilien de recherche artistique et environnementale basé à Manaus, imaginent un programme de résidence artistique croisée, autour des enjeux de  biodiversité tropicale, cruciaux pour l’équilibre écologique planétaire et le bien-être des populations. Deux artistes brésiliens sont ainsi accueillis pendant un mois (mai-juin 2025) au Jardin d’Agronomie Tropicale de Paris-René Dumont, sous le pilotage de COAL et de la Cité du développement : Fabiana Ex-Souza, lauréate du Prix COAL 2023, mention Spéciale du jury , ainsi qu’un artiste issu du programme de résidence Ecologie Spéculatives mené par Labverde en Amazonie : Felipe Shibuya.

Ces deux  artistes partagent un intérêt profond pour les formes végétales, qu’ils explorent chacun à travers une approche singulière et complémentaire. La démarche artistique de Fabiana Ex-Souza se situe à la croisée de l’archive vivante et du geste rituel, elle s’inscrit dans une constellation de pratiques décoloniales et écoféministes, où le soin devient méthode, et la matière, une mémoire à réparer. Felipe Shibuya, quant à lui, mène une recherche à la frontière des sciences naturelles, s’intéressant aux pigments et aux structures invisibles du monde végétal. Sa démarche rend hommage à la biodiversité tout en dévoilant la richesse sensorielle et la complexité formelle du vivant.

Réunis dans une exposition qui marquera la fin de leur résidence de recherche à la Cité du développement durable, Fabiana Ex-Souza s’intéressera aux propriétés physiques des résines — leur viscosité, leur capacité à figer le temps, à préserver et à cicatriser — ainsi que leur potentiel métaphorique. Elle y voit une matière en tension : à la fois protectrice et blessure figée, substance organique et archive chimique. Felipe Shibuya, dans un hommage à la biodiversité, s’appliquera quant à lui à rendre visible la beauté et la complexité du monde végétal, révélant des détails invisibles à l’œil nu, interrogeant en creux notre relation à la nature et notre manière de la percevoir.

RDV au à la porte Chinoise du Jardin d’Agronomie Tropicale.

Accès libre.

 

EXPOSITIONS DU 14 AU 15 JUIN, En partenariat avec l’Espace Frans Krajcberg

  • 10h-22h – Installation sonore de Yuwey Henri : Atamogola’a (Recommencer), Convoque tes racines et Invoque ta mémoire

Dans un bosquet du Jardin d’Agronomie Tropicale, la poétesse et artiste Yuwey Henri, du peuple Kali’na Tɨlewuyu en Guyane, fait résonner son poème Atamogola’a (Recommencer) dans les langues de son territoire ancestral : le kali’na, langue de son peuple, le wayana et cinq autres langues autochtones de Guyane, ainsi que le français et le portugais, langues des colonisateurs de la Guyane et d’une partie du bassin amazonien. A travers les eaux, les végétaux, l’espace et le temps, Yuwey convoque ses racines et invoque la mémoire, les Voix entendues lui rappelant « qui nous sommes ». 

Ce lien tissé entre le paysage et la présence humaine nous invite à sonder nos propres perceptions. L’installation devient l’expression de la résistance des cultures ancestrales menacées sur le territoire aujourd’hui français et de l’urgence de leur juste reconnaissance.

Rencontre avec l’artiste le dimanche 15 juin à 16h.

Réservation obligatoire. Lien d’inscription à venir.

 

  • 10h-22h – Installation mixte de Keywa Henri, Ma maison est ta maison

L’artiste Kalin’a Tɨlewuyu (nation autochtone de « Guyane Française ») Keywa Henri investi le Pavillon de la Guyane et retrace son histoire coloniale, faisant resurgir cette mémoire douloureuse qui guide toujours les rapports d’aujourd’hui, entre les territoires dits d’ « outremer » et l’Hexagone. Dans la continuité de son projet « Wossa la’a » (« Je reviens » en kali’na) autour des « zoos humains », dans lesquels des membres de son peuple furent exhibés à Paris au Jardin d’Acclimatation en 1882 et 1892, Keywa porte sa réflexion, à travers les vestiges de l’exposition coloniale de 1907 subsistant au Jardin d’Agronomie Tropicale, sur nos relations humaines et autre-humaines, passées et présentes, pour en interroger l’avenir.

Rencontre avec l’artiste le dimanche 15 juin à 16h.

Réservation obligatoire. Lien d’inscription à venir.

 

  • 14 juin, 17h-22h | 15 juin, 10h-18h – Installation vidéo de Trudrua Dorrico, Écosystème des Dieux

Écosystème des Dieux est un poème né de la forêt amazonienne, une mémoire vivante de notre lien sacré avec les animaux, les plantes et leurs esprits protecteurs et enchantés. Il nous rappelle qu’en détruisant la forêt, ce sont aussi les peuples qui les habitent et leurs savoirs qui disparaissent. Ce texte est un appel à réhabiliter les principes autochtones, essentiels à un équilibre collectif. Porté par une parole multiple, le poème déploie un message à la fois spirituel, politique et poétique — à l’image de la forêt elle-même. Manifestation organisée dans le cadre de la Saison Brésil-France 2025.

RDV au pavillon Indochine.

Réservation obligatoire. Lien d’inscription à venir.

Informations pratiques

–> Inscriptions : Modalités détaillées en dessous de chaque activité.

–> Point de RDV : Attention !  Différent en fonction de chaque activité. Si rien n’est spécifié, veuillez vous rendre à l’entrée du Jardin d’Agronomie.

Quand
  • 15 juin
  • 20 juin
Horaires
  • de 10h à 22h
45 bis Avenue de la Belle Gabrielle, Nogent-sur-Marne, France + Google Maps
Au sujet de la forêt
Le Jardin d’agronomie tropicale de Paris René Dumont est situé à l’extrémité Nord-Est du Bois de Vincennes, dont il est le plus grand espace naturel clos (6.7 ha).
Propriété de la Ville de Paris, il accueille la Cité du Développement durable, association rassemblant une vingtaine d’acteurs du développement durable et des transitions écologiques et qui interroge les nouvelle trajectoires de développement liant territoires d’ici et d’ailleurs.
Héritage mémoriel lié à l’histoire coloniale de la France, créé comme un lieu de recherche où sont plantées et analysées des semences venant des colonies dès 1899, ce jardin en constante évolution est un lieu à interroger et à redécouvrir. Peu connu du grand public à qui il n’a réouvert ses portes qu’en 2004, le Jardin conserve une aura et un aménagement très particuliers qui le différencient des autres espaces du Bois de Vincennes. Son histoire transparaît dans les différents secteurs qui le composent aujourd’hui encore, chacun ayant ses propres caractéristiques :

- Un jardin « du Souvenir indochinois », déployé autour de mises en scène paysagères aménagées pour les expositions autrefois accueillies au Jardin, de différents points d’eau et de bâtiments mémoriels et historiques. La végétation forestière se compose de pins, de feuillus, de bambous ainsi que de pins laricios familiers dans le bois de Vincennes ;
- Un jardin où sont situés la majorité des anciens pavillons d’exposition et monuments aux morts afro-amérindiens, et où la pinède laisse place aux feuillus, à une prairie arborée et à des espaces plus ouverts ;
- L’ancien « jardin des cultures », qui constituait autrefois le cœur de la partie productive du jardin colonial comme en témoignent les anciennes serres, et qui accueille aujourd’hui une ferme urbaine participative ;
- Le campus, qui s’organise autour d’une pinède, et dont les bâtiments abritent les multiples organisations membres de la Cité du Développement durable ;
- Les deux pavillons restaurés, celui de l’Indochine et celui de la Tunisie, qui contribuent à articuler ces différents secteurs d’ambiance au sein du Jardin.
Son passé
Inscrit depuis la fin du XIXe siècle dans l'histoire de l'enseignement et de la recherche agricoles, le Jardin d’agronomie tropicale porte également un héritage historique et mémoriel fort.

En 1899, sur le modèle du Royaume-Uni et des Pays-Bas, la France décide de se doter d’une structure chargée de coordonner les actions entreprises aux colonies pour l’amélioration des productions agricoles. Le Jardin colonial de Nogent est créé et placé sous la tutelle du Ministère des Colonies. On y reçoit des plants et semences des différentes colonies, on les met en culture, les observe, les analyse dans les laboratoires du site. Les variétés jugées intéressantes sont multipliées puis expédiées aux différents jardins d’essai. En 1902, un enseignement supérieur de l’agriculture coloniale est institué à Nogent, afin de spécialiser les ingénieurs agronomes qui se destinent aux colonies. En 1907, l’exposition nationale coloniale y est organisée : en plus des bâtiments dont il a hérité à l’occasion des précédentes expositions, on érige au jardin plusieurs pavillons et villages, et des « animations » mettant en scène la vie des autochtones dans les colonies sont proposées au public. Ce type d’expositions est, à juste titre, considéré comme particulièrement troublant aujourd’hui et doit continuer d’être interrogé et analysé avec un éclairage historique.

L’histoire du jardin se poursuit pendant la Première Guerre mondiale, durant laquelle il devient un hôpital destiné aux troupes coloniales et accueille plus de 4800 soldats blessés. A la sortie du conflit, plusieurs monuments dédiés à la mémoire des combattants des différents corps des troupes coloniales morts pour la France sont érigés sur le site. Certains sont toujours visibles aujourd’hui, comme le stupa consacré aux Laotiens et Cambodgiens. Après les années 1920, plusieurs instituts de recherche agronomiques se succèdent au jardin, dans lequel la nature reprend progressivement ses droits. En 1984 est créé le CIRAD qui regroupe l’ensemble des instituts de recherche en agronomie tropicale. Il délèguera la gestion d’une partie du site à la Mairie de Paris en 2003, qui l’ouvre au public l’année suivante et qui poursuit depuis une démarche de réhabilitation du Jardin et de ses bâtiments.
Son présent
Le Jardin d’agronomie tropicale René Dumont sort aujourd’hui de sa torpeur, à la fois héritier d’une histoire riche et complexe qui se traduit dans son aménagement et son atmosphère particuliers, et s’inscrivant dans une volonté de renouveau et d’ouverture croissante au public. Une démarche de réhabilitation est engagée par la Ville de Paris, propriétaire des lieux, en lien avec les membres de la Cité du Développement durable. Un important travail d’aménagement paysager a été réalisé et deux des pavillons historiques ont été restaurés. Celui de l’Indochine, réhabilité en 2011 par la Ville de Paris, accueille déjà de nombreux événements et expositions, et celui de la Tunisie, dont la rénovation a été financée par la Région Île-de-France et qui ouvrira à l’automne 2021, abritera un lieu de restauration responsable et un centre de ressources animé par la Cité du Développement durable.

La vingtaine d’acteurs résidant au sein du Jardin ont constitué cette association en 2018. Elle constitue un pôle pluri-acteurs unique de recherche et de coopération internationale en développement durable, dont les membres sont de nature extrêmement variée (organismes de recherche, de formation, bureaux d’étude, collectifs de concertation, entreprises de l'économie sociale et solidaire, etc.). Tous souhaitent « faire Cité » en créant des passerelles entre les enjeux de développement locaux et internationaux. En coopération avec la Ville de Paris, la Cité du Développement durable propose ainsi l’organisation au Jardin d’un certain nombre d’événements et d’animations qui sont autant de plateformes d’expression et d’opportunités d’échange avec le public sur ces thématiques, comme le seront les Nuits des Forêts. L’inscription de la Cité du Développement durable dans le cadre de ce festival fait sens : au-delà de leur implantation historique au sein du Jardin et donc du Bois de Vincennes, une grande partie des membres de la Cité ont en effet une expertise poussée des enjeux forestiers (agroforesterie, filières, certifications, liens aux changements climatiques…).
Son futur
Face à la nécessité d'initier de nouvelles trajectoires de développement liant territoires d'ici et d'ailleurs, qui questionnent nos modes de vie et d'organisation, la Cité du Développement durable cherche à décloisonner les expertises et les recherches pour faire émerger des collaborations inédites. L’ambition de la Cité est de poursuivre sa collaboration avec la Ville de Paris, afin de s’incarner dans le Jardin d’agronomie tropicale en un lieu intégré, fédérateur, connecté avec le Sud, et permettant le partage avec le grand public.
Nom
au Jardin d’agronomie tropicale de Paris René Dumont, Paris (75)
Adresse
45 bis Avenue de la Belle Gabrielle, Nogent-sur-Marne, France
Département
Paris
Taille (en ha)
7

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