- 21 juin
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Hyper Balades
Expérience immersive avec Fabrice Cazenave

L’artiste Fabrice Cazenave propose une expérience mêlant flux méditatifs et pratique du dessin, pour renouer avec les énergies des êtres et des lieux. Dans ce moment de méditation guidée, l’artiste accompagne les participants vers un état de pleine conscience, les invitant à laisser émerger sur le papier leurs ressentis intérieurs sous forme de signes graphiques. Un temps suspendu, à l’écoute de soi et du vivant.
À propos de l’artiste :
la pratique multi-médias de Fabrice Cazenave découle d’une approche volontairement exploratoire, voire expérimentale. L’artiste vit des expériences qu’il traduit en dessins et en sculptures. Il interroge notre rapport à la vérité, à la croyance, au présent, et utilise un outil subjectif, son corps, pour questionner le réel. Travaillant la plupart du temps en aveugle, les yeux fermés, il ressent, goûte, touche, explore son environnement, et retranscrit simultanément ses sensations en schémas espace-corps.
Deux créneaux sont possibles : 16h à 17h et 18h à 19h
- Les participants sont invités à amener un tapis de yoga pour plus de confort
- Point de rendez-vous au parc du château de Fontainebleau
- Évènement gratuit sur inscription sur le lien de la billetterie
Étendu au-delà du dénivelé du bassin des Cascades, le parc marquait autrefois – à l’est – les limites du domaine royal. Depuis le village d’Avon, il était traversé par la principale voie d’accès au château. Sa configuration actuelle, l’organisation du réseau de cascatelles et d’allées en étoile, résulte de la création, sous Henri IV, d’un grand canal long de près de 1200 mètres (1606-1609) pour 40 mètres de large. Planté initialement de plus de soixante mille arbres où croissaient les rangées de peupliers blancs, les chênes et les arbres fruitiers, ce « parc fermé » et son canal étaient la fierté du roi, qui en suivit le chantier. En 1609, il fallut plus d’une semaine pour le remplir et, dès l’automne, le roi y naviguait.
L’harmonie qui se dégage de cet ensemble résulte de la volonté des souverains de s’inscrire dans la continuité de leurs prédécesseurs. Cette succession de scénographies architecturales se déploie le long de jardins dont la conception générale fut entièrement revue au cours du XIXe siècle : le jardin de Diane et le jardin Anglais adoptèrent des styles paysagers à l’anglaise. Le Grand Parterre classique d’André Le Nôtre (1660-1664), et ses 14 hectares de jardin à la française, quant à lui, offre une expérience de l’espace et des perspectives totalement différentes. Il est prolongé, au-delà du bassin des Cascades, par un long parc que traverse, dans toute son étendue, le grand canal d’Henri IV.